MAJ DU 05012021 circulaire académie de Reims mutation inter 2021
BOEN Spécial n° 11 du 3 décembre 2020
Le Ministère ouvre le serveur AMIA du 4 décembre 2020 au 30 décembre 2020 inclus (AAE et SAENES) et
du 7 janvier 2021 au jeudi 4 février 2021 inclus (ADJAENES).
Circulaire académie de Reims du mouvement déconcentré INTER 2021 disponible en PJ depuis le 05/01/2020
AFIN DE PROCÉDER AUX OPÉRATIONS DE MOBILITÉ INTER-ACADÉMIQUE DES PERSONNELS ADMINISTRATIFS DE CATÉGORIE C, B ET A ET VERS LES COM ( Collectivités d'outre mer) POUR LES PERSONNELS A ET B.
Résultats suite à la décision de la DGRH prévus :
- le 31 mars 2021 pour les corps des SAENES et des AAE,
- selon les dates arrêtées par les académies pour le corps des ADJAENES (mouvement déconcentré)
Les représentants nationaux A&I UNSA sont à votre écoute pour vous guider, vous conseiller et suivre votre dossier tout au long d'une démarche qu’ils savent importante pour votre carrière et votre vie personnelle.
Afin de faciliter ce suivi, nous vous invitons à nous adresser la copie de votre inscription administrative, accompagnée de toutes les pièces justificatives et des informations que vous souhaiterez nous communiquer, et à renseigner la fiche syndicale « mutation nationale ».
Vous trouverez ces documents et toutes les informations nécessaires à l’établissement de votre demande de mutation :
le SE-Unsa 51 , l’Unsa Education et ses partenaires laïques organisent des visios la journée de la laïcité :
9 décembre : journée de la laïcité
Journée de la laïcité dans la Marne : nous vous proposons deux rendez-vous visios d’une heure. Organisé par les partenaires laïques de la Marne, dont l’Unsa Education.
- mercredi 9 décembre avec Rémy Sirvent à 17H30, notre responsable national Secteur laïcité et questions sociétales, président du CNAL (Comité National d’Action Laïque) :Laïcité et enjeux éducatifs : faire vivre la laïcité dans les espaces éducatifs.
- mardi 15 décembre avec Jean-Paul Delahaye à 17H30 :laïcité et enjeux contemporains, faire vivre la laïcité au quotidien.
fiche d’application du décret 2020-543 du 9 mai 2020 FMD FPE
Cher.e.s adhérent.e.s, cher.e.s collègues
La section A&I UNSA de Reims a écrit à Monsieur le recteur en date du 03/12/2020 afin de savoir si dans notre académie une circulaire a été éditée et pour connaitre la procédure d'attribution de ce Forfait Mobilités Durables. Vous trouverez ce courrier en pièce jointe. Nous sommes dans l'attente d'un retour de l'employeur. En l'absence de réponse rapide et d'une circulaire académique, la section d'A&I UNSA Reims s'engagera à vous fournir une fiche technique dans les prochains jours.
MAJ :Le 10/12/2020, La section A&I UNSA REIMS a reçu une réponse de l'employeur le 10/12/2020 nous indiquant qu'une circulaire était en préparation et qu'elle serait diffusée prochaine. (voir plus bas).
BENEFICIAIRE : Ce forfait est exclusif de toute autre prise en charge des frais de déplacement domicile-travail, mais il étend l’accompagnement financier des déplacements entre le domicile et le travail à de nouveaux bénéficiaires. Toutefois, en 2020 et afin d’accélérer la diversification des modes de transport dans un contexte d’urgence sanitaire, l’agent pourra choisir alternativement durant l’année de bénéficier soit du forfait "mobilités durables" soit du remboursement mensuel d’un abonnement de transport public ou de service public de location de vélo.
POINTS IMPORTANTS :
la fiche d’application du décret 2020-543 du 9 mai 2020 FMD FPE stipule bien en point B intitulé bénéfice et montant du forfait mobilités durables que le FMD indemnise l’utilisation du vélo ou du covoiturage tant en passager que conducteur pour effectuer les déplacements domicile-travail. Au cours d’une même année, l’agent peut alternativement utiliser le vélo ou le covoiturage pour atteindre le nombre minimal de jours d’utilisation. Ce seuil est modulé selon la quotité de temps de travail de l’agent.
le décret précise que l'employeur ce réserve le droit d'effectuer un contrôle à savoir en vous demandant tout justificatif utile à sa demande (facture d'achat, d' entretien , assurance etc).
Afin d’encourager le recours à des modes de transports plus doux et d’accompagner la mise en œuvre du forfait "mobilités durables" dans un contexte de déconfinement, une fiche d’application du décret et de l’arrêté du 9 mai 2020 est disponible en attendant une éventuelle circulaire de l'académie de Reims, la section d'A&I UNSA Reims s'engagera à vous fournir une fiche technique dans les prochains jours.
LA section académique A&I UNSA Reims
Le 10/12/2020
Monsieur le Secrétaire académique,
Nous avons bien reçu votre courrier.
Les modalités de mise en œuvre de cette mesure fiscale bénéficiant aux agents étant précisée par notre ministère de tutelle, une circulaire académique est en préparation et sera diffusée prochainement.
Cordialement,
Le secrétaire général adjoint
directeur des ressources humaines
vous trouverez ci-dessous un état des lieux en EPLE :
La crise de la COVID est un révélateur cruel d’une évidence sociétale : l’accumulation des individualités ne forme pas un tout.
Nous, personnels des EPLE, professionnels de l’administration, de la logistique, de la sécurité des biens et des personnes, de l’entretien des locaux, nous avons à souffrir, peut-être plus que d’autres, de la gestion calamiteuse de la crise au quotidien.
Le premier constat, c’est celui de l’existence d’un protocole sanitaire. Il devrait s’imposer à nous tous, fonctionnaires de l’Education Nationale. Le problème, c’est que celles et ceux qui nous entourent ne reconnaissent pas plus qu’avant crise les directives de leur employeur. Liberté de penser, liberté de faire ce que je veux quand je le veux, puisque liberté pédagogique… La situation a pris un tour tragique : une peur irrationnelle a gagné le plus grand nombre, avec son dommage collatéral :lafoliedes protocoles sanitaires locaux.
Quels que soient les délires des spécialistes auto-proclamés de la lutte pour sa surviecovidaire, il faut valider le toujours plus : gel hydroalcoolique dans toutes les salles de classes, désinfection des locaux à toute heure, masques achetés en catastrophe parce que ceux de l’employeur nous empoisonnent, port de visière, port d’une blouse chirurgicale, désinfection de claviers d’ordinateurs toutes les heures, pose et dépose de film alimentaire sur ces mêmes claviers, ouverture et fermeture des fenêtres par les agents, à toute heure, voire même toilettes réservées aux enseignants désinfectées après chaque utilisation, et même acquisition de points de lavage des mains mobiles pour que les élèves se lavent les mains le plus loin possible, au fond de la cour… J’en passe et des meilleures…
Nous sommes les spectateurs impuissants d’une peur qui s’auto-alimente des protocoles « maison » qui nous sont imposés, et qui alimentent le syndrome du complot : chez le voisin on fait plus, c’est donc qu’on fait moins pour nous. Ça prouve que la direction de l’établissement est incompétente, parce qu’elle ne prend pas la mesure de la vraie situation, contrairement au voisin.
Nous faisons face à des décisions irrationnelles, prises dans l’urgence, au gré des humeurs, sans aucun fondement scientifique avéré. Et pour nous, c’est « y’a qu’à fournir pour demain sinon on ferme ! »N’en déplaise à tous ceux qui vivent dans un monde parallèle : l’administration, c’est un métier. La logistique, c’est un métier. La sécurité des biens et des personnes, c’est un métier. L’entretien des locaux et la désinfection, c’est un métier.
Dans la vraie vie, il y a des décisions qui doivent se prendre après concertation et réflexion, des délais de livraison, des règles en matière d’utilisation des produits de désinfection, la nécessité d’optimiser les moyens et de respecter un budget…
Nous, nous n’allons pas expliquer aux enseignants, et à d’autres, comment travailler. Alors, qu’on respecte notre travail et notre expertise.
Au fond, il y a dans la manière dont on nous traite beaucoup de mépris car nous sommes mis au service des besoins desautres. Certes, servir les besoins des autres, c’est sans doute notre métier.Le problème, c’est que ces besoins sont aujourd’hui parfois totalement déraisonnables.
Ce que nous apprend dès à présent cette crise, c’est que les personnels administratifs et en particulier l’adjoint gestionnaire dans ses fonctions logistiques, en toute humilité, ne peut pas tout contrôler. Il ne peut donc être tenu responsable des conséquences de la situation sanitaire.
La manière dont les autresvivent la situation, ce qu’ils pensent de la situation sanitaire, leur état de panique plus ou moins avancé, nous n’y pouvons rien.
En revanche, notre attitude professionnelle, notre volonté de participer positivement au bien-être et à la réussite de nos enfants, notre volonté de répondre aux demandes des élèves et de leurs familles tout au long de la chaine administrative et de gestion, en bref toutesles actions que nous menons pour maintenir l’équilibre de nos établissements jouera un rôle majeur quoique méconnu, dans la sortie rapide de cette crise.
Les personnels attendent de celles et ceux qui les encadrent, uneVision. Il faut les rendre fiers de tout ce qu’ils font pour assurer le bien-être et la sécurité sanitaire. Il faut aussi affirmer nosvaleurs, et bien faire comprendre que c’est l’intérêt général, seul, qui motive notre action, et qui nous mobilise.
Notre rôle d’écoute est fort : nous devons, plus que jamais, créer du lien entre ceux qui refusent à présent de se comprendre, il faut continuer à être les yeux du terrain, et à faire remonter ce qui se passe réellement dans l’établissement, et non pas ce qu’en pense tel ou tel groupe de pression.
En un mot, nous devons tenir, plier un peu plus mais ne pas céder.Notre attitude envers les collègues, notre capacité à proposer et à agir, la justesse et la rigueur de nos décisions, tout cela participe positivement à la sortie de crise, par l’exemple que nous donnons de notre professionnalisme.
Prendre soin des autres, c’est notre métier.
Prenez aussi soin de vous, car nous ne sommes épargnés ni par la maladie parfois, ni par les exigences disproportionnées et par l’absence de contrôle de certains de nos partenaires.
Nous, syndicat A&I-UNSA, nous représentons tous les collègues de terrain. Nous entendons les difficultés de nos collègues, nous sommes nous aussi victimes des errements qui peuvent gagner progressivement le plus grand nombre.
la section A&I UNSA de Reims est la seule organisation syndicale qui depuis le début s'est "battue" pour obtenir une transparence sur ce dossier.
Aux dernières nouvelles nous attendons l'obtention des données concernant notre demande de versement de la prime COVID aux bénéficiaires de la mission 1, 2 et 3 par TAUX.
COURRIERS :la section A&I UNSA dans ces divers courriers et lors des instances académiques n'a eu de cesse d'interroger l'employeur sur la mise en place de cette PRIME COVID sur :
-la demande d'une diffusion dans une circulaire académique des critères pour obtenir cette prime COVID.
-la mise en place du groupe de travail avec les organisations syndicales pour connaitre l'enveloppe allouée et l'application de cette prime avec les critères adoptés.
-le cas échéant la prise en compte de la reconnaissance des agents administratifs impliqués par le l'indemnité CIA
3 courriers adressés à Mme la Rectrice : 1er courrier ; 2ème courrier; 3ème courrier(A ce jour la section A&I UNSA n'a toujours pas eu de réponses de la part de l'employeur aux courriers envoyés, alors que l'on nous avait prévenu de réponses imminentes de sa part. Force est de constater un amoindrissement du dialogue social de la part de l'employeur académique.)
La section A&I UNSA de Reims a écrit à Madame la rectrice le 25/11/2020 suite à l'information qui a été diffusée sur la gestion de la Prime COVID(communication faite sur le site) afin de savoir si dans notre académie l'enveloppe initiale allouée à cette prime avait été consommée en totalité et si il n'y a pas eu de manquement ni de retard.
Courrier A&I UNSA et réponse de l'employeur ci-dessous
Le Premier ministre, le ministre de l'éducation nationale, de la jeunesse et des sports et la ministre de l'enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation sont responsables, chacun en ce
Cher.e adhérente, cher.e collègue notre secrétaire général vient de communiquer sur la gestion de la Prime Covid :
GESTION DE LA PRIME COVID : POUR LES PERSONNELS DE L’ÉDUCATION NATIONALE DE LA JEUNESSE DES SPORTS ET DE L’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR, LE DÉNI CONTINUE
Le Sénat s’est penché sur la consommation des crédits ouverts pour la prime COVID dans les différents ministères et le résultat est accablant : au 30 septembre 2020, surconsommation pour les services du premier ministre à hauteur de 117% et sous-consommation pour les ministères de l’éducation nationale (42%) et de l’enseignement supérieur (2% !)
Certes, tout n’est pas comparable entre ministères compte tenu de ce qu’a été la réalité du fonctionnement des établissements et services et certains font pire que l’éducation nationale. Ce n’est là toutefois qu’une maigre consolation quand on sait combien les personnels de ce ministère ont été particulièrement tout à la fois exposés aux risques de la COVID et concernés par la gestion du confinement. Quant à la situation propre à l’enseignement supérieur, elle demande pour le moins à être explicitée de manière claire et précise !
A plusieurs reprises A&I UNSA a attiré l’attention des ministères sur ce point et à l’occasion du CTMEN du 21 octobre 2020 dans le cadre fédéral a fait part à nouveau de son fort mécontentement, s’agissant en particulier de la manière dont ont été traités dans beaucoup d’académies les personnels autres qu’enseignants notamment les administratifs.
Face à ce que les personnels ne peuvent percevoir que comme mépris et déni de leur engagement professionnel, A&I UNSA exige, à défaut de solutions mieux adaptées, qu’à l’occasion du versement des « compléments indemnitaires individuel annuel » (CIA) toutes les situations, en administrations centrales, en services et en établissements, soient réexaminées et les injustices et iniquités corrigées.
Courrier du Secrétaire Général de la fédération Unsa Education à Monsieur le Premier Ministre
Cher.e adhérent.e,
Le ministre de l’Éducation nationale avait annoncé le 16 novembre des mesures de revalorisation pour les enseignant·es et la répartition de l’enveloppe de 400 millions prévue pour 2021.
les syndicats de la fédération UNSA Éducation ont insisté sur la nécessité et l’urgence de revaloriser l’ensemble des personnels de l’éducation et de donner de la visibilité à long terme.
Cette marche de 400 millions d’euros ne peut se concevoir que comme une première étape avant d’autres hausses successives qui permettraient enfin de donner des perspectives de revalorisation pour chacun des personnels.
Un courrier de la part du Secrétaire Général de la fédération Unsa Education a été envoyé au premier ministre. il lui est demandé d’annoncer rapidement une loi de programmation pluriannuelle et les montants pour chaque année qui viennent donner des perspectives de revalorisation sur le long terme. "Sans cette vision et cette clarté aucun « Grenelle des personnels de l’éducation » ne sera possible."
Les discussions qui ont lieux en ces temps dans les différents chantiers de l’agenda social doivent aboutir à des mesures concrètes. Aujourd’hui seulement 21 millions des 400 millions d'euros sont disponibles en mesures catégorielles pour prendre en compte les personnels non enseignant·es, ce n'est pas suffisant.
Monsieur le Premier Ministre doit :
- revaloriser les plus bas salaires, notamment les AESH mais aussi les catégories B et C administratives et techniques et les AED
- prendre les mesures de revalorisation et de carrières pour les filières administratives, sociales, de santé et techniques
- concrétiser les engagements pris pour les personnels de direction et d’inspection
- poursuivre la revalorisation au-delà de 2021 pour les enseignant·es, Psy-EN, CPE*
"Notre organisation syndicale prend toute sa place dans le dialogue social dès qu’il est possible. L’enveloppe de 2021 n’est qu’une première étape. La connaissance de l’enveloppe globale de revalorisation et la programmation pluriannuelle sont aujourd’hui indispensables pour concrétiser les mesures pour nos collègues. C’est le sens de notre demande"